LA MÉMOIRE DE L’ART, un polar de Cyrille Thiers.


Le spécialiste de la nouvelle se lance enfin dans le roman ! Finaliste inattendu du Prix Littér’Halles en 2020 pour son recueil de nouvelles noires et policières, « On a toute la vie pour mourir », Cyrille Thiers vous propose aujourd’hui une première enquête palpitante dans le monde des grands maîtres de la peinture ! 1870, 1914, 1939. Ces trois conflits franco-allemands ont détruit des millions de vies, mais ils ont également affecté de façon dramatique le patrimoine artistique de nombreux pays.
Bombardements aveugles, pillages, destructions organisées, spoliations… Grâce au dévouement d’hommes et femmes hors du commun, nombre d’œuvres inestimables ont miraculeusement traversé ces périodes, tandis que d’autres étaient perdues à jamais.Pourtant, certains tableaux que l’on croyait disparus resurgissent de temps à autre…Max, un galeriste parisien, torturé par la terrible histoire de sa famille, va se retrouver embarqué malgré lui dans une quête dont les révélations risquent fort d’ébranler le milieu si conservateur de l’art et des grands musées. Entraîné par la pétillante Louise, il va devoir partir à la poursuite de sa propre mémoire, avant d’espérer localiser ces si mystérieuses toiles qui feront jaillir bien plus de questions que de réponses.
[Illustration de couverture : Brian Merrant, d’après « L’homme de Vitruve » par Léonard de Vinci (vers 1490)]

 
Voici deux thèmes que j’aime trouver dans mes lectures, mis en avant ici : l’art et les deux guerres mondiales (en autre). Tout un pan de cet aspect historique mis souvent au banc de la culture. Cyrille Thiers s’empare de ce sujet avec un incroyable culot et c’est cela qui m’a séduite. Pas tout à fait un Dan Brown, pas tout à fait un James Bond, L’ART DE LA MÉMOIRE est un excellent polar qui vous plongera dans les abysses méconnus de l’art.
Max est un galeriste parisien qui va voir sa renommée s’envoler grâce à sa dernière exposition, celle d’un jeune artiste prometteur. Max est tomber dans le monde de l’art, non pas par hasard, mais avec l’ultime conviction qu’ainsi il pourrait réparer les actes des ses aïeuls dont il n’est pas fier. Et c’est un joli pied de nez à toute la médisance dont il est l’objet de la part de sa mère. Max s’épanouit dans son métier. Dans l’immeuble qui appartient à la famille, il a ouvert une maison d’artiste où il accueille des peintres de tout horizon. Max et l’art, c’est toute une passion.

 

Après une soirée largement fêtée, il est accosté par une jolie femme. Une rencontre foireuse mais qui va s’ouvrir sur une aventure pittoresque. La jeune femme n’est autre que Louise évoluant dans le monde de l’art et ses limbes. Embarqué dans cet incroyable aventure, Max va découvrir un monde alambiqué où les apparences sont trompeuses. Courir après des faussaires d’une congrégation secrété, crée à la fin du 19e siècle est très cocasse.

 

Louise est une jeune femme passionnée par son métier. Son instinct est primordial et ses connaissances sans limite. Cette enquête va toutefois remettre ses principes en considération. De Paris aux Jacobins de Toulouse, dans les anciens conduits des passe-plats à des souterrains dignes d’un bunker ultra sécurisé, Louise et Max seront sur le pied de guerre.

 

Cyrille Thiers signe un premier polar très intéressant. Le contexte historique et l’enquête offrent une histoire palpitante. Très vite je me suis prise au jeu, suivant avec une certaine envie les élucubrations des protagonistes usant souvent d’un humour bienveillant et bienfaiteur. Le seul petit bémol est certainement l’aspect psychologique des personnages qui a mon sens manque de développement et de caractère. Je suis arrivée à la conclusion que cet aspect juvénile (peut-être voulu) contrebalancé le sérieux du sujet développé. Ce dernier est totalement maîtrisé par Cyrille Thiers. De l’action, quelques rebondissement et une énigme qui tient parfaitement la route ! Cyrille Thiers a le sens de la mise en scène toujours ancré dans des lieux réels. Le sens innée pour les intrigues que j’ai découvert dans son précédent recueil de nouvelles.

 

Un bon début pour cette saga.

 

Une chronique de #Esméralda

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… Mon avis sur un précédent roman de Cyrille Thiers, clique sur la photo pour le découvrir.

ON A TOUTE LA VIE POUR MOURIR de Cyrille Thiers.

 
[ RECUEIL DE NOUVELLES / POLICIER / ENQUÊTE – Nouveauté 2019 ]
338 pages
Ma note : 5/5 mention « à découvrir »
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Lu dans le cadre du RDV Mon Marathon Indé de Mai
 
Le résumé :
J’ai rassemblé dans cet ouvrage quinze histoires très noires dont certaines ont eu l’honneur d’être primées dans divers concours. Ces récits ont en commun la mort sous toutes ses formes, jusqu’aux plus improbables. Souvent violente, parfois glauque, elle façonne minutieusement la noirceur de ces intrigues en les parsemant de cadavres, d’ossements, et même de momies. Vous aurez probablement du mal à discerner les victimes des coupables. Néanmoins, jusqu’à l’hécatombe finale, je vous garantis un plaisir aussi malsain que jubilatoire en observant les acteurs de ces tranches de vies, ou plutôt devrais-je dire … de ces vies tranchées.[Illustration de couverture : André Taymans.]

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Voici un recueil de quinze nouvelles aussi qu’intrigant que jubilatoire. Une atmosphère sombre, inquiétante et noire comme la nuit. Quinze nouvelles subjuguantes, quinze scènes où l’inattendu frappe sournoisement à la porte pour mieux surprendre. Cadavres dans le placard ou autres endroits incongrus, les personnages éclectiques ont du mordant et du sang sur les mains. Cyrille Thiers a le sens de la mise en scène. Un peu d’Edgar Alan Poe et un peu de Stephen King, Cyrille Thiers a su me captiver dès le départ. Une plume acérée et légèrement morbide m’a plongée dans un univers captivant, dramatique, sanglant où la logique n’est pas celle que l’on peut appréhender dans un premier temps. Mais le plus surprenant est la manière dont Cyrille Thiers s’approprie son recueil. En effet, l’auteur a eu l’ingénieuse et l’originale idée de relier ses nouvelles. Un lien intrinsèque qui se concrétise dans la dernière nouvelle.

 

Ce recueil est juste stupéfiant. J’ai tout simplement adoré. Le format « nouvelle », pour une fois, ne m’a pas du tout frustrée. Je n’ai eu à aucun moment ce sentiment où il m’en fallait plus. Ces quinze nouvelles sont de longueurs inégales mais où le sujet est exploité de manière suffisante pour assouvir ma curiosité. L’originalité est partie prenante. L’humour noir et mini intrigue sont de rigueur pour mon plus grand des plaisirs. Parmi cette diversité, j’ai apprécié toutes les nouvelles. Seule une, « Conquistadors », m’a laissé coite. Petit bonus, Cyrille Thiers nous livre à la fin de son recueil LES SECRETS DE FABRICATION, une nouvelle idée géniale afin de découvrir les coulisses d’écriture d’un recueil sensationnel.

 

Maintenant place aux nouvelles que je vous décris en quelques mots.

 

MARCHE FUNÈBRE : enterrement, vengeance, pièce cachée.
LE SAPIN DE NOËLLE : cadeau de noël, haine, tempête meurtrière
TICKET GAGNANT : avarice, jackpot, malchance
LE TUEUR AU TOURNEVIS : journaliste, enquête, corps
MOZART EST LA : secret, marchandage, pizza empoissonnée
DÉRAPAGES : dénonciation, sniper, bombe, rancœur
GENEALOGIE APPLIQUÉE : famille, héritage, argent
LE SPECTRE DE L’AUTOCAR : bandes dessinées, casse automobile, trésor
SON PETIT DOIGT M’A DIT : disparition, corps enseveli, complot
VOUS ÊTES TOUS TÉMOINS : ascenseur, meurtre, deux coupables
GENEALOGIE APPLIQUÉE – la suite : ancêtre, seconde guerre mondiale, tunnel Jenner
LA CROUTE DU SIÈCLE : peinture, Picasso dissimulé, house noire
TUEURS EN PARALLÈLE : personnage atypique, piège, violeur
CONQUISTADORS : eau, destruction, âme
JE VAIS A RIO : avion, attentat, la plupart de tous les personnages
SECRETS DE FABRICATION : le making-off, Cyrille Thiers revient sur chaque nouvelle et délivre ainsi les petites anecdotes de fabrication.

 

Je vous invite vraiment à découvrir ce recueil. Je n’ai pas été déçue par cette lecture aussi riche qu’atypique. Un univers multiple où les cadavres exquis germent ici et là au sein d’une atmosphère où le mal crépite avec vigueur.

 

#Esméralda

 

 

Je remercie Cyrille Thiers pour sa confiance et sa patience.

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… l’interview de Cyrille Thiers.

La page Facebook de Cyrille Thiers.

 

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DIS-MOI QUEL AUTEUR INDé ES-TU CYRILLE THIERS ?

 
Troisième interview de la semaine.

 

Aujourd’hui, c’est au tour de Cyrille Thiers de passer sous ma loupe. Son premier roman, ON A TOUTE LA VIE POUR MOURIR est un recueil de nouvelles dans le genre polar.

 

Voici son portrait.

 

  • Que genre d’auteur es-tu ?
Ma page Facebook s’intitule « Cyrille Thiers – Raconteur d’histoires » : c’est vraiment l’expression qui me caractérise le mieux, bien plus qu’auteur ou écrivain. Mon écriture est au service de l’intrigue et uniquement de l’intrigue.

 

  • Un livre préféré ?
Je sens que si je réponds « Le trésor de Rackham le Rouge », on va me dire que je suis hors sujet, donc je dirais « L’aiguille creuse » de Maurice Leblanc (oui je sais, c’est un procédé absolument éhonté pour en donner deux…). C’est avec une fascination jamais démentie que j’ai relu plusieurs fois toute la série des Arsène Lupin. J’étais plus jeune, j’avais le temps de lire…

 

  • Un livre que tu n’as jamais pu finir ?
« Le seigneur des anneaux » : pour mes lectures, je ne suis pas du tout fantasy. Par contre, j’ai adoré les films.

 

  • Des petites manies quand tu écris ?
Je relis mon texte en permanence dans ma tête, voire à voix haute si je suis tout seul. Cela me permet de vérifier que le rythme de lecture correspond à ce que j’apprécie et surtout que je suis moi-même intéressé par ce que je lis. Bizarrement, j’ai toujours considéré que l’efficacité d’une histoire se jugeait à l’écoute. Il faudrait peut-être que j’essaie les livres audio…

 

  • Plume ou ordinateur ?
J’écris véritablement depuis seulement deux ans donc je ne me suis même pas posé la question : ordi.

 

  • Plutôt jour ou nuit ?
La nuit, par obligation : quand j’ai fini ma journée de boulot et que mes enfants sont couchés. Mais même si j’avais le choix, je crois que j’écrirais quand même la nuit, car je m’y sens plus inspiré.

 

  • Auto édition par conviction ?
En débarquant, totalement inconnu, avec un recueil de nouvelles, je me suis vite rendu compte que je ne rentrais pas dans les cases des maisons d’édition classiques. Quant à être édité dans une microstructure, je n’en vois vraiment pas l’intérêt si ce n’est pour le plaisir de fanfaronner « J’ai été édité, j’ai été édité ! ». Et puis cette liberté d’indé m’a permis de solliciter André Taymans (un de mes auteurs BD favoris) pour la couverture : je n’aurais jamais pu faire ça au sein d’un cadre rigide d’éditeur. J’ai beaucoup aimé cette sensation de tout maîtriser du début à la fin.

 

  • Ton pire défaut ?
Je ne lis quasiment que des BD. C’est un peu la honte pour un auteur, non ?

 

  • Ta plus grande qualité ?
Je pense avoir une bonne faculté d’autoévaluation : lors de mes très fréquentes phases de relecture, quand je trouve qu’un passage est mauvais ou inutile pour l’histoire, je n’hésite pas à faire un gros couper-coller dans la corbeille, même si j’y ai passé des heures.

 

  • Passionné ou persévérant ?
Persévérant : je suis capable de garder un embryon d’idée dans la tête pendant de longs mois en attendant la petite étincelle qui le transformera en bonne histoire.

 

  • Tu écris …. ?
J’ai commencé par des concours de nouvelles et j’ai penché très tôt vers les intrigues noires et policières par facilité : c’est quand même plus simple de trouver la chute qui tue en exploitant ces thèmes. Mais pour mon premier roman en cours d’écriture, j’ai opté pour mes vrais genres de prédilection : l’aventure et le mystère (cf. mes livres préférés). À noter que j’ai été extrêmement surpris par certains retours dithyrambiques de la part de jeunes lecteurs (12-15 ans) qui ont adoré mes histoires et je me demande si je ne vais pas tenter de cibler davantage ce lectorat.

 

  • Ton rêve le plus fou ?
Le plus fou, vraiment ? Passer dans « On n’est pas couché » pour discuter de mon livre avec Christine Angot.

 

  • Décris en trois adjectifs ton roman que je m’apprête à lire :
Je n’ai pas encore trop triché, alors pour la dernière question, je vais faire fi de mes scrupules et plagier la chronique d’une de vos consœurs qui se reconnaîtra : « vivant, piquant, mordant ».

 


 

 

Le résumé :

J’ai rassemblé dans cet ouvrage quinze histoires très noires dont certaines ont eu l’honneur d’être primées dans divers concours. Ces récits ont en commun la mort sous toutes ses formes, jusqu’aux plus improbables. Souvent violente, parfois glauque, elle façonne minutieusement la noirceur de ces intrigues en les parsemant de cadavres, d’ossements, et même de momies. Vous aurez probablement du mal à discerner les victimes des coupables. Néanmoins, jusqu’à l’hécatombe finale, je vous garantis un plaisir aussi malsain que jubilatoire en observant les acteurs de ces tranches de vies, ou plutôt devrais-je dire … de ces vies tranchées.[Illustration de couverture : André Taymans.]

 

Lien Kindle

La page Facebook de Cyrille Thiers.

 

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MON MARATHON INDé DE MAI.

Zou et re zou, c’est le dernier lundi du moi et je me mets  sur mon 31 pour vous présenter les nouveaux romans qui seront mis à l’honneur au cours de ce rdv mensuel.

 

Présentation succincte aujourd’hui et dès demain vous retrouverez le portrait de ces auteurs qui ont souhaité s’auto-éditer. La semaine prochaine sera consacrée à mes avis.

 

Six romans, six genres : du polar, de la romance, de la fantasy, et du feel- good  ! De quoi rêver pendant de nombreuses heures de lecture.

 

C’est parti ! Et surtout n’hésiter pas à partager vos lectures et vos auteurs préférés avec le tag #monmartahonindé 😉

 

Bonne découverte. (Pour plus d’info, n’hésitez pas à cliquer sur la couverture de votre choix).

 


Polar
193 pages

Le résumé :
Un vendredi noyé sous les caprices de l’hiver, le jeune Louis se rend dans un ancien manoir pour faire le service. Mais ce qui devait être un simple week-end d’affaire entre gens aisés, se transforme peu à peu en une cérémonie mortuaire préméditée. Personnages mystérieux et souvenirs lointains, ils devront tous, enfermés dans ce manoir durant trois jours, se confronter à un invisible mais ingénieux tueur à mesure que les cadavres se succèdent.J’invite celui d’entre vous qui s’en sent capable, à résoudre le dernier mystère de la pièce rouge.Roman policier/thriller de poche, se déroulant en huis clos.
Polar
338 pages

Le résumé :

J’ai rassemblé dans cet ouvrage quinze histoires très noires dont certaines ont eu l’honneur d’être primées dans divers concours. Ces récits ont en commun la mort sous toutes ses formes, jusqu’aux plus improbables. Souvent violente, parfois glauque, elle façonne minutieusement la noirceur de ces intrigues en les parsemant de cadavres, d’ossements, et même de momies. Vous aurez probablement du mal à discerner les victimes des coupables. Néanmoins, jusqu’à l’hécatombe finale, je vous garantis un plaisir aussi malsain que jubilatoire en observant les acteurs de ces tranches de vies, ou plutôt devrais-je dire … de ces vies tranchées
Laisse le souffle du vent chasser la pluie par [Luca, Emy]
Feel-good
250 pages

Le résumé :

Comment continuer à vivre lorsque l’on a perdu l’être qui comptait le plus dans notre existence ? Quand la douleur demeure insupportable malgré le temps qui passe, malgré nos efforts quotidiens pour ne pas s’effondrer ?
A 28 ans, Chloé a tout tenté pour se reconstruire. En vain. Au fil des jours, elle voit sa vie s’effriter, en proie à un mal être si profond qu’elle n’aspire qu’à une solution : mourir.
Severic, un jeune viticulteur de trente ans, connait cette même douleur sournoise et intense. Mais contrairement à la jeune femme, il a fini par choisir la vie en se jetant à corps perdu dans le travail.

Leur première rencontre aurait pu être une évidence. Pourtant, chacun préfère fuir de son côté…
Jusqu’à ce qu’un accident vienne tout bouleverser.
Laisse le souffle du vent chasser la pluie évoque la rencontre d’un homme et d’une femme, tous deux cabossés par la vie, qui se retrouvent unis par une même douleur. Chacun va tendre la main à l’autre, avec ses propres moyens, ses propres doutes et ses propres peurs mais aussi avec la furieuse envie de vivre et d’être à nouveau heureux.
C’est aussi une histoire de destins qui s’entrecroisent, de liens d’une force étonnante qui s’apprivoisent et se nouent. C’est une belle histoire d’amour au pluriel. Une ode à la vie, tout simplement.
Amoureuse du Diable par [Lanoix, Alexandra]
Romance
319 pages
Sortie le 1er juin

Le résumé :

Lilly s’octroie quelques jours de congé bien mérités à Monaco. Elle a économisé plusieurs mois sur son salaire de caissière pour s’offrir ce voyage : un break avec sa vie actuelle et… sa vie d’avant. Durant son séjour, elle croise la route de l’homme d’affaires Léo Watts, mais cette rencontre va lui valoir toute l’attention d’Interpol, qui lui demande d’infiltrer le cercle très fermé du richissime businessman. Acceptera-t-elle de jouer les taupes auprès de cet homme qui est loin d’être un ange ?
Policier
128 pages

Le résumé :

« QUAND LA MORT DANSE AVEC LES VIVANTS, IL N’Y A PLUS DE LUMIÈRE. SEULEMENT L’OBSCURITÉ. »La mort rôde dans la petite ville de Shrewsbury, en Angleterre. Une riche héritière, Jennifer Barnes, est retrouvée assassinée. Pas vraiment la carte postale de vacances idéales ! Néanmoins, Hugo Delatour, ancien flic reconverti en détective privé, décide de reprendre l’enquête. Une autopsie bâclée, une mystérieuse application « Hunter », il n’est pas au bout de ses surprises. Qui se cache derrière le pseudonyme de « Danse Macabre » ? Hugo devra tout faire pour mettre un terme à sa folie meurtrière.
La reine des elfes (Akalie t. 2) par [Phaeton, Jupiter]
Fantasy
389 pages

Le résumé :

Je suis de mauvaise humeur, c’est peu dire. Mon père est enfermé derrière des protections magiques infranchissables, Ezra n’a toujours pas pointé le bout de son nez et les elfes ont entamé une guerre civile pour savoir si je serai leur reine ou si je devais mourir d’un carreau d’arbalète dans le cœur. Pour l’instant, je constate que la deuxième hypothèse est la mieux partie, vu le nombre de tentatives d’assassinat dont je suis la cible. Nischar, le gamin-garde-du-corps-elfique-aux-cheveux-plein-de-gel, me colle aux basques pendant que Mélinda, la reine des fées, choisit toujours le meilleur moment pour apparaître et me réclamer sa faveur.
Puis il y a eu un attentat.
À Washington.
Et le portail des dieux a été ouvert.
Autant dire que je ne suis pas près de dormir…

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