Chroniques d’une Princesse machiavélique, tome 1 : sans Valentin de Lily B Francis.

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[ COMÉDIE ROMANTIQUE – 2016 ]

AUTO-ÉDITION via BOD

SERVICE PRESSE

 

 

 

 

 

Je remercie Lily B Francis pour ce service presse via Simplement Pro.

 

Résumé :

Agnès n’en revient pas !
Le voile du déni vient de se lever et elle réalise qu’elle est toujours amoureuse de son meilleur ami, le magnifique Phoebus Rolland.
Ce serait le début d’une superbe histoire d’amour s’il n’était pas en couple depuis 7 ans !
Tant pis, Agnès tente le tout pour le tout.
C’est fun, c’est frais, c’est fou, sauf qu’elle oublie complètement que si elle sème le vent, elle récoltera la tempête !

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Mon avis :

Une histoire de cœur peu commune mais tellement courante dans la vie de tout les jours, du moins c’est ce qui me semble. Une histoire de cœur virevoltante qui nous transporte entre peines et joies. Une histoire de cœur d’une héroïne totalement atypique : d’ailleurs il m’a été difficile de la portée dans mon cœur cette Agnès. Et c’est ce point ci qui rend cette lecture incroyable irrésistible .

Agnès du jour au lendemain et après des péripéties plus ou moins douteuses décide ou se rend compte que l’homme de ca vie c’est lui, Phoebus. L’homme parfait, intelligent, bien dans ses baskets et super sexy. Malheureusement pour Agnès, ce dernier n’a d’yeux que pour la belle Esmeralda ( ca fait tout drôle de retrouver son pseudo dans une histoire). Vous voyez le contexte et bien ceci promet des étincelles tout au long de la lecture. Et vous avez vu le clin d’œil : eh oui un petit remake de la fabuleuse histoire d’amour de « Notre-Dame de Paris » de Victor Hugo, remastérisée à la sauce « soap opéra ». Mais quel programme : les actions s’enchainent vous laissant euphorique ou en pleine crise de larmes ou suspicieuse ou haineuse. Tout un méli mélo d’émotions intenses qui ne m’ont pas laissée insensible.

Les personnages secondaires ne sont pas reste et viennent ajouter ce surplus agréable à l’ambiance totalement catastrophique.

L’auteure a décidé d’écrire son histoire à la troisième personne du singulier et je l’en remercie car l’effet voulu renforce ce scénario digne de « Dallas ». Elle nous fait naviguer entre présent et passé avec application, nous dévoilant les éléments nécessaires à la compréhension de ce soudain revirement de situation.

Agnès a tout pour elle, sauf l’homme qu’elle chérit en cachette depuis de nombreuses années. C’est une fille plein de malice mais qui s’attire facilement les foudres de son entourage. Dire qu’elle est têtue est un euphémisme : elle fonce tête baissée pour les conséquences, elle verra plus tard. En vérité, Agnès n’est pas ma plus grande copine et d’ailleurs je ne l’ai pas soutenue tout au long de son périple. Je l’ai détestée, haïe et je lui en ai voulu énormément. Point de compassion pour Agnès ! Et c’est en cela que j’ai aimé cette lecture : une héroïne que je déteste et c’est la première fois. Allons donc ! Heureusement les personnages secondaires sont là pour m’aider à la supporter. Que dire sur Phoebus, il est juste un mec génialissime : la tête sur les épaules, fonceur, ingénieux, la main sur le cœur, d’une fidélité à toute épreuve et un sens de l’amitié innée. Aux antipodes d’Agnès, le noir et le blanc.

En bref, c’est une histoire avec beaucoup de surprises, de rebondissements inattendus, des scènes hilarantes et des émotions qui vous touchent en plein cœur.

Ce fut presque un coup de cœur, peut être à la lecture du prochain tome !

« Chroniques d’une princesse machiavélique » est atypique en tout point !

 

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Lien Amazon.

Le site de Lily B Francis

 

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Là où tu iras j’irai de Marie Vareille.

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[ LITTÉRATURE – COMÉDIE – NOUVEAUTÉ 2017]

ÉDITIONS MAZARINE

SERVICE PRESSE

 

Je remercie les éditions Mazarine pour cette merveilleuse découverte via Netgalley.

 

Résumé :

Isabelle a 32 ans, un chihuahua nain prénommé Woody-Allen et une carrière d’actrice comparable à celle du Titanic : prometteuse en théorie, catastrophique en pratique.
Le jour où elle refuse la demande en mariage de l’homme qu’elle aime, sous prétexte qu’elle ne veut pas d’enfant, elle se retrouve à la rue, avec pour toute fortune vingt-quatre euros sur son compte en banque. Elle est alors forcée d’accepter le seul travail qu’on lui propose : utiliser ses talents de comédienne pour séduire Jan Kozlowski, un jeune veuf sur le point de se remarier.
La voilà donc partie en Italie, dans la maison de vacances de la richissime et déjantée famille Kozlowski. Seule ombre aux deux semaines de dolce vita qui se profilent : pour exécuter en toute discrétion sa mission « séduction », Isabelle devra jouer le rôle de l’irréprochable nanny anglaise de Nicolas, 8 ans, qui n’a pas prononcé un seul mot depuis la mort de sa mère cinq ans plus tôt. Isabelle est bien loin d’imaginer à quel point cette rencontre improbable avec ce petit garçon blessé par la vie va bouleverser sa vision du monde.

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Mon avis :

Voici une lecture qui va enjoliver votre été et vos vacances. Sous un air de Dolce Vita, cette comédie a le mérite de vous éblouir autant par la plume fraîche et fluide de Marie Vareille et par ses personnages hauts en couleurs.

Isabelle est une jeune femme totalement paumée dans ses rêves de jeunesse. Etre actrice est le rêve de ses 16 ans. Nous sommes rapidement spectateurs de sa vie riche en émotions et en questionnement. On en convient rapidement de dire que c’est un flop total et qu’Isabelle se berce dans ses illusions. C’est ce qui la rend totalement attachante. On veut la booster et lui faire ouvrir les yeux sur ce que la vie lui offre et on lui crie « vas y fonce ». Une héroïne de quotidien avec tous ses tords et ses multiples défauts mais en grattant bien, on y découvre une femme douce, meurtrie et gentille qui manque cruellement de confiance en elle. Son exubérance camoufle ses qualités et sa vie désastreuse. Ses deux meilleurs amis sont ses piliers indéfectibles et apportent une certaine sérénité. Et je peux en dire également de son amoureux transit et surtout éconduit.

Une terrible mission va lui être confiée et pour cela elle doit se rendre avec la famille Kozlowski en Italie pour quinze jours. Ces vacances sont loin d’être de tout repos car Nicolas, ce petit garçon merveilleux a besoin d’elle. Et là j’avoue la manière dont elle s’y prend est juste à mourir de rire : une vrai catastrophe mais contre toute attente va amener ses fruits.

Tout un scénario se met en place, avec une intrigue bien sympathique qui apporte une nouvelle intensité à la lecture et une autre dimension au roman. La psychologie des personnages est subtile et correspond à merveille aux caractères de ces derniers. Le duo Isabelle et Nicolas, vous met plein de paillettes dans les yeux. Ils sont reliés par cette innocence infantile et ces sentiments qu’ils ont enfoui au plus profond d’eux suite aux décès d’êtres chers. A eux deux ils font mutuellement s’entraider, se faire confiance et exprimer leurs émotions.

J’ai apprécié cette lecture : autant les personnages sont mis en valeur par la sublime plume de Marie Vareille autant ce qui se cache sous ces mots m’ont touchée  profondément. C’est un roman qui nous parle et qui nous atteint en plein cœur. Tous les ingrédients sont réunis pour passer un excellent moment de lecture.

« La où tu iras j’irai » symbolise le parcours chaotique de vies déchirées, mais par un heureux hasard et un concours de circonstances, ces dernières vont prendre un chemin bien plus enjoué et permet ainsi à nos jeunes héros de se dévoiler, de s’affirmer et de vivre.

Une comédie explosive !

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Pour tout savoir sur Marie Vareille et les éditions Mazarine-Fayard : c’est par ICI !