
[ URBAN FANTASY / YA – Nouveauté 2019 ]
(Premier arc) Tome 3/3
444 pages
ma note : 5/5 mention « à découvrir absolument »
Line Kindle
Lu dans le cadre du rdv #MonMarathonIndé de juin
Le résumé :
Je vais être responsable d’un patricide, c’est certain. À chaque fois que Negarath ouvre la bouche, j’ai envie de lui trancher la tête. Lui, mon père ? Sérieusement ? À quel moment ma mère s’est-elle dit qu’un idiot doublé d’un égoïste serait idéal pour partager le reste de sa vie ?
Heureusement qu’Alvyn est de retour, un peu plus et j’attrapais ce qu’il restait de l’obélisque de Washington pour le balancer dans le crâne de Negarath. Non pas que j’en sois capable, hein. Mais si je l’avais été, je l’aurais certainement fait.
Pendant qu’il a décidé de récupérer son trône elfique, nous voilà face à un sérieux problème : les portails sont ouverts. Tous. La bonne nouvelle c’est que Mélinda, la reine des fées, va me foutre la paix et rentrer chez elle. La mauvaise, c’est que nous allons faire face à une nouvelle invasion de gobelins et de trolls. C’est tout juste si on vient de se débarrasser de leur sale odeur dans la ville, voilà qu’on est de nouveau bon pour se les coltiner. Et bien sûr, n’oublions pas les dieux et leurs jeux dangereux.
Quand est-ce que je vais dormir, moi ?
Il était une fois, une jeune femme qui se prénommait Akalie. Elle adorait le chocolat chaud à s’en faire des crises de foie, elle faisait joujou avec une panthère pas commode du tout, se prenait le chou avec un père sorcier et un père biologique qui n’avait malheureusement pas les lumières à touts les balcons. Faisant fi d’une reine des fées un peu trop collante, d’un elfe apprenti gardien qui ne savait pas se coiffer, de vampires assoiffés de sang et un chouia accaparant, de portails ouverts, d’un chevalier séquestré, d’elfes rancuniers, de dieux aussi matures que des enfants de trois ans et d’une gardienne des clefs bien cachée, sa vie serait un véritable paradis où les grasses et grosses matinées seraient imposées. Bref, cela aurait été sa vie, si elle n’était pas un quart déesse, un quart elfe, un quart prêtresse et un quart humaine.
Ce troisième et dernier tome (de cet arc comme le précise Jupiter Phaeton) conclut à merveille cette fabuleuse aventure qui a eu le mérite de me faire passer par toutes les émotions. Jupiter Phaeton m’a catapultée dans un univers riche où elle impose ses propres règles. Elle a réussi le pari, surtout oser, de réunir tout ce qu’il se fait de mieux en fantastique : chanceling, vampire, fée, dieu, sorcier, prêtresse, elfe, chevalier. Un univers cohérent où tout se monde s’aime pour le meilleur ou le pire. Les personnages créent certaines affinités au fur et à mesure des tomes. Le personnage de Akalie est un sacré phénomène : une personnalité forte, sarcastique et de mauvaise foi, elle illumine par sa présence et son esprit ses compagnons. Elle a l’aura des Grandes qui réussissent à rassembler et à soulever les montagnes.
Ce dernier tome n’échappe pas la règle : actions, rebondissements, révélations, secrets, passion, amitiés, doutes, colère, honneur, respect et alliances… 444 pages de pur bonheur que j’ai dévoré d’une traite. Une plume qui m’a envouté en un tour de main.
Cet avis est un peu court à mon goût, mais j’ai trop peur de vous en révéler trop. Je n’ai qu’un mot : foncez !
Oooooh c’est trop beau, je suis toute émue (comme à chaque fois je sais, ça devient barbant à lire de ma part PARDON !), merci, merci, merci 🙂
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😂😂😂 rien de barbant venant de ta part ! Qu est ce que j adore te lire !
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