
[ CHICK-LIT – 2018 ]
233 pages
Ma note : 5/5 mention « à dévorer »
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Lu dans le cadre de MON MARATHON INDE de Janvier.
Le résumé :
Une cadre de grand magasin parisien au bord de la trentaine et du burn-out
se retrouve, sur un malentendu, à faire 9 heures de théâtre par semaine au Cours Florent.
——–
Cendrelle est responsable de la parfumerie du Grand Bazar de Paris
et célibataire par intermittence depuis cinq ans.
Le 1er janvier 2000, elle prend deux décisions :
1) arrêter les histoires foireuses ;
2) faire une folie.
Car est-il raisonnable à 29 ans de ne plus croire au père Noël ?
——–
Le tome 1 (ou tome 2) intitulé La rousse qui croyait au père Noël a 39 ans
est en vente sur Amazon.
Le tome 3 de cette série, qui remonte dans le temps,
s’intitulera La rousse qui croyait au père Noël a 19 ans
et vous pourrez lire la suite et fin de l’histoire dans le tome 4.
La série étant réversible, vous pouvez la commencer par le tome que vous voulez !
Mon avis :
Haaaaa Cendrelle et ses incontournables et éternelles questions. Cendrelle c’est la presque trentenaire qui se rend compte que sa vie n’est pas aussi trépidante qu’elle aurait souhaitée. C’est vrai que courir tous les jours entre les étages du grand magasin dans son tailleur impeccable et des hauts talons, ce n’est pas la panade. Éviter à tout prix la grande patronne pour esquiver quelques sarcasmes bien sentis, car ce n’est pas l’idéal de la motivation. Cendrelle se questionne et s’interroge sur son « soi intérieur ». Elle cherche sa voix au milieu de la cohue parisienne. A quoi aspire t-elle ? A l’amour ? Oui, le beau, le grand, le passionné, celui qu brule les ailes ! Mais peut être est-elle un peu trop exigeante ? Elle veut rire. Elle veut se sentir libre. Faire une folie ? Pourquoi pas ! Mais laquelle ? Telle est la question !
Le théâtre apparait comme étant la solution miracle. Un peu trop miracle d’ailleurs, car à 29 ans on est plus trop jeune et se trouver au milieu de jeunes adultes qui sortent de l’adolescence boutonneuse, la « bobo » ne sent pas à l’aise. A bat les codes conformistes de la société et vive la folie, car ce que tu ne sais pas, c’est que l’insondable Nicolas va changer la donne …. ou pas !
Suzanne Marty décrit et met en scène avec humour et honnêteté, les tourments d’une héroïne qui veut se libérer de ses chaines. Cendrelle est un personnage luminaire et attachant. Son humour criard et percutant est à savourer. Cendrelle est une femme têtue, un peu fofolle mais toujours avec les pieds sur terre. Il est agréable de voir dans ces moments de relâchement qu’elle peut être une femme naturelle et bien dans sa peau. Les réparties sont d’un mordant explosif. J’ai tant ri, mais j’ai également été peinée par les aléas et rebondissements qu’a dus subir Cendrelle.
LA ROUSSE QUI CROYAIT AU PÈRE NOËL : c’est explosif, attendrissant, attachant, délicat, touchant et à mourir de rire. Portée par une plume addictive qui mesure à la perfection un humour bon-enfant avec une dose de dure réalité.
Ce roman est juste à dévorer. Tout simplement. L’auteur a su prendre du poil de la bête (par rapport au premier tome) et s’est lâchée totalement. Pas de sentiment de frustration, Suzanne Marty est allée au bout de cette aventure. Et c’est juste sublime !
De la chick-lit qui en met plein les yeux et où tu te bidonnes, une héroïne singulière : bienvenue dans le monde de Cendrelle, la rousse qui n’a plus froid aux yeux et qui a du mal à croire au Père Noël !
#Esméralda
Je remercie infiniment Suzanne Marty pour sa confiance et sa patience.
Découvre mon avis sur : « La Rousse qui croyait au Père Noël a 39 ans ».
Découvre le super blog de Suzanne Marty.